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Décidément SOS RACISME !

SOMME, SOS Racisme 80 : six mois ferme pour le pote qui touchait le jackpot !

Le tribunal d’Amiens a condamné ce mardi 5 mai, Jacques Ebosse, le président de SOS Racisme 80, à six mois de prison ferme pour escroquerie aux subventions.

- Qu’elle est triste, l’audience qui s’est tenue mardi, comme toujours quand une escroquerie est pratiquée au nom de grands et beaux principes !

- Qu’elle est inquiétante, aussi, quand on réalise à quel point les collectivités territoriales distribuent des subsides par dizaine de milliers d’euros sans s’inquiéter de leur utilisation.

- Qu’elle est dangereuse, enfin, car on en ressort en se demandant combien d’associations constituées sous couvert de l’intérêt général ne sont que coquilles vides, inscrites en préfecture dans le seul but lucratif de nourrir quelques prébendiers

Des assemblées générales au téléphone …

Jacques Ebosse-Modiou Nyambe devient président de SOS Racisme à Amiens en 2002, jusqu’à une scission en 2005, qui l’oblige à créer une nouvelle structure, SOS Racisme 80. Dans les faits, très vite, cette association n’en est pas une au sens légal du terme.

Le secrétaire vit au Royaume-Uni, la trésorière est une femme de paille. «Vous ne faisiez pas d’assemblée générale !», lui reproche le procureur Françoise Dale. «Si, si, se défend-il. Mais c’était par téléphoneCette gestion rocambolesque aurait dû condamner l’association à ne vivre que des seules cotisations de ses adhérents.

C’est tout le contraire qui se passe : l’argent afflue, du conseil régional mais aussi d’Amiens Métropole. «En fait, la Région ne contrôle absolument pas l’utilisation des fonds qu’elle remet», dénonce la même Mme Dale.

Qui, d’ailleurs, va mettre fin à la combine ? Pas une collectivité, mais l’organisme Tracfin, dépendant du ministère de l’Économie, qui estime en 2014 que beaucoup trop d’argent liquide est retiré régulièrement du compte de SOS Racisme.

Isaac, salarié fantôme

Les policiers iront de découverte en découverte. La plus stupéfiante : entre janvier 2011 et juin 2014, SOS a officiellement versé un salaire mensuel, subventionné par la Région, à un certain Isaac. Ce dernier tombe des nues : «Mais j’ai quitté SOS le 31 janvier 2011 !» C’est vrai. À partir cette date – il le reconnaîtJacques Ebosse a émis de fausses fiches de paie pour continuer à toucher les aides publiques.

Il se défend de tout enrichissement personnel. Selon sa thèse, il a travaillé pendant deux ans, de 2009 à 2011, pour SOS Racisme sans que l’association ne puisse honorer son salaire (qu’il a pourtant déclaré aux impôts !) «Je me suis investi. L’association me doit encore de l’argent», insiste-t-il.

Il ne convainc pas, et cette nouvelle peine ferme n’arrangera pas ses affaires, puisqu’il attend le 17 juin un arrêt de la cour d’appel relatif à une condamnation pour exercice illégal de la profession … d’expert-comptable. Dorénavant, il est réfugié dans un village du Santerre, Puzeaux. Le cordon ombilical avec les collectivités territoriales n’est pas coupé : il vit du RSA, que verse le conseil général

Les faits …

Jacques Ebosse, 59 ans, président de SOS Racisme dans la Somme, a été reconnu coupable de faux, usage de faux, détournement de biens d’un dépôt public et abus de confiance. Il dispose de dix jours pour faire appel.

Il a été condamné à six mois de prison ferme (sans mandat de dépôt) et trois ans d’interdiction de gérer toute association ou société. Il devra verser 32.908 euros de dommages et intérêts au Conseil régional.

Déjà attaqué sur sa gestion il y a dix ans …

Le contentieux avait tourné au règlement de comptes entre potes. En 2005, Jacques Ebosse avait dû résister à une dissidence au sein de SOS Racisme, menée par un groupe d’étudiants. À sa tête, Jamaldine Ben Mebarek, issu des Jeunes socialistes (MJS), avait été désigné par ses soutiens comme nouveau président. L’association amiénoise s’était alors retrouvée dans une situation ubuesque, avec deux bureaux et au milieu un compte bancaire gelé en attendant que la justice tranche sur sa paternité.

Derrière un désaccord d’apparence sur «la ligne politique», chaque camp se taxait surtout d’incompétence voire de falsification administrative.

Le groupe dissident accusait Jacques Ebosse de «confondre intérêt personnel et intérêt associatif», par «une gestion des comptes dans le secret» et des «chèques douteux» (4500) édités via son compte personnel.

«Nous n’avions pas encore de chéquier», s’était défendu Jacques Ebosse, qualifiant à son tour les «putschistes» «de petits télégraphistes bons qu’à aller chercher des documents pour des subventions».

Le tribunal avait fini par juger que Jacques Ebosse ne pouvait avoir la qualité de président de l’association, en dépit du soutien sans faille apporté par l’association nationale à son représentant local.

Pour finir, les ex-potes s’étaient séparés en deux nouvelles entités : SOS Racisme 80 pour Jacques Ebosse et SOS Racisme indépendant (SOSRI) pour les dissidents, mouvement alternatif qui était alors en pleine ascension à travers le pays.

Source : Le Courrier Picard

En février 2006, SOS Racisme prend position en faveur de la publication des caricatures de Mahomet du journal Jyllands-Posten dans Charlie Hebdo. Dominique Sopo, président de SOS Racisme, est témoin de Charlie Hebdo au procès des caricatures.

Serge Malik, qui fut l'un des membres fondateurs de l'association, dénonce ce qu'il considère comme une récupération de SOS Racisme par le pouvoir mitterrandien d'alors et notamment le rôle clé de Julien Dray dans cette instrumentalisation !

C'est ça là France socialiste des Mitterrand/Hollande !

Dans Fier d'être Français, l'historien Max Gallo critiquait le choix de la main jaune comme logo :

«Il y a eu Vichy et l’étoile jaune ? On créa de toutes pièces, d'en haut, parmi les idéologues qui savaient ce qu'ils faisaient, la petite main jaune de SOS Racisme, pour faire comprendre que les citoyens de souche récente étaient en somme les Juifs d'aujourd'hui. […] De l’étoile jaune à la petite main jaune de SOS Racisme, on créait la première de ces confusions historiques qui allaient empoisonner les débats français».

Et ce sont ces gens là qui se permettent de nous juger, d'imposer leur doctrine, leur idéologie mortifère ?

L'association SOS Racisme est dangereuse pour le pays et aggrave le racisme, c'est une «machine de guerre politique» pour le Parti Socialiste !

Dans la lignée des Harlem Désir, Julien Dray, (condamnés aussi par la justice), et maintenant Dominique Sopo comme patron, elle n'est pas belle la France des socialistes ?

Pendant vingt ans, l'antiracisme, Sopo le reconnaît lui-même, a régné en maître sur nos esprits.

Alors, faisons son bilan : Le multiculturalisme qui remplace l'assimilation; l'ethnicisation des questions sociales plutôt que la lutte des classes; la déconstruction du roman national remplacé par la concurrence victimaire; la haine institutionnalisée de la France autour de la figure totémique de Dupont Lajoie …

L'antiracisme fut le rideau de fumée qui occulta la soumission socialiste aux forces libérales auquel le Parti Socialiste est contraint de se rallier chaque fois qu'il arrive au pouvoir en reniant ses promesses idéologiques.

Et notre très "cher" Hollande en joue et en rejoue à outrance!

Le 05 mai 2015



07/05/2015
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