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Syndicats et monde du travail !

A l'heure ou notre "moustachu" communiste dans l'âme mais aussi "cégétiste" par conviction Philippe Martinez, secrétaire général, prend ses fonctions dans le "minable" ex-bureau du non moins minable Le Paon, j'avais envie de me référer à l'excellente analyse du "syndicaliste" vu par "Enquête & Débat" !

D'autant que Philippe Martinez nous prévoit déjà une grande mobilisation en mai prochain, contre qui ? Contre quoi ? Je me doute un peu !

Dans le monde du travail, ce sont les syndicalistes imposteurs qui réussissent le mieux !

Les syndicalistes imposteurs, qui se présentent généralement comme des employés menteurs et des agents paresseux, des planqués, des incompétents et des manipulateurs.

Ils sont la plaie de tous les métiers de la fonction publique. Ils sévissent toujours "en toute impunité", comme souvent les alcooliques, toujours "protégés en priorité" et favorisés dans les services publics, et certainement toujours au détriment de ceux qui "travaillent".

Les employés paresseux et râleurs sont toujours ceux qui doivent "se planquer dans les syndicats".

On comprend que l’inefficacité des services publics soit aggravée par les agents, au caractère difficile, qui règnent dans les syndicats, au détriment du bon fonctionnement des métiers de la fonction publique.

Dans la fonction publique, les employés qui "réussissent le mieux" ne sont pas les plus travailleurs, ni les plus dévoués, ni les plus courageux, ni ceux qui ont toujours satisfait aux obligations de leur mission, dans le cadre du service public, mais "les plus mauvais", les menteurs et les tricheurs, les planqués du syndicat.

C’est pourquoi les agents râleurs, paresseux et malveillants, les planqués du syndicat, sont les pires employés. Étant parmi les meilleurs spécialistes sur le plan de "l’absentéisme injustifié", ils ne manquent jamais l’occasion de faire des "coups en douce" qui réussissent à bloquer un service ou même une entreprise.

Le paresseux malveillant et râleur se répand de plus en plus dans la fonction publique d’État et des collectivités. Les planqués du syndicat sont "des manipulateurs et des destructeurs" qui réussissent à bloquer ou à entraver l’essentiel du fonctionnement d’un service.

Les planqués du syndicat s’adaptent sans cesse à la politique de la république socialiste, anéantie par l’incompétence, l’impuissance et l’amateurisme de l’État-PS.

Ils font tout leur possible en matière "de trahison et de mystification" à l’encontre des vrais travailleurs, pour être bien vus par les supérieurs hiérarchiques, au détriment de la plupart des collègues.

La figure de "l’imposteur du syndicat" est très répandue et valorisée dans la fonction publique.

Les imposteurs passent leur temps à dénigrer les autres, en soutenant qu’ils n’ont pas la compétence requise par leur emploi. Ils les critiquent sans cesse. Ils mentent en affirmant qu’ils ne méritent pas leur poste et qu’ils négligent toujours les missions qui leur sont confiées.

Ils se posent sans cesse en "juges prévaricateurs" sans jamais chercher à savoir si eux-mêmes sont légitimes en tant que "planqués du syndicat". En réalité, ces agents sont en fait paresseux et incompétents.

Et pourtant, ils progressent très rapidement dans la hiérarchie par l’entremise honteuse du syndicat.

D’un certain côté, les imposteurs savent qu’ils n’ont aucune compétence en dehors de la "protection mafieuse du syndicat".

Aussi, les agents râleurs, paresseux et malveillants, qui sont les planqués du syndicat, peuvent montrer à tous des "réactions de prestance" de façade, devant la hiérarchie, pour faire croire qu’ils ont une force morale et "mystifier les collègues" qui auraient confiance en eux.

C’est ainsi que la plupart des syndicalistes imposteurs et incompétents peuvent se retrouver comme "élus" socialistes à de très bons postes, par l’entremise mafieuse du PS !

Le syndicaliste imposteur, paresseux, malveillant et râleur est un parasite social.

Antisocial, il sait "mentir et tricher" en permanence pour "s’affranchir des règles" en vigueur dans le service ou l’entreprise. Il agit d’abord "dans son propre intérêt" et pas pour ses collègues, qu’il considère par "projection de son cas personnel", comme des collabos et des "agents des patrons".

Le syndicaliste imposteur est généralement un adepte de l’insulte et de la violence verbale. Et il sait pratiquer l’insulte sans jamais aucune retenue. Le syndicaliste imposteur est un être paresseux, incompétent et impuissant, qui se sent "victime de la frustration" de croire qu’il aurait été humilié par les autres…

Avide de "pouvoir usurpé", le syndicaliste imposteur, paresseux, malveillant et râleur, est un "indigné" de la république socialiste qui se complaît dans "l’apitoiement sur soi-même". Comme la plupart des lâches, il entretient un "sentiment haineux de frustration" contre ceux qui travaillent et qui méritent leur salaire.

C’est pourquoi, il n’est jamais satisfait du travail des autres et c’est pourquoi il se plaint sans cesse, afin de faire croire à une attitude de prestance autoritaire face à l’autorité de la hiérarchie. Il veut faire croire qu’il milite activement pour que les choses changent, "sauf pour lui".

D’une nature lâche, manipulatrice et insignifiante, ses mensonges sont souvent pris en considération par la hiérarchie, généralement aussi corrompue que lui.

C’est ce qui engendre toujours bien des désagréments à l’encontre les vrais travailleurs.

Rien de mystérieux dans le comportement manipulateur des planqués du syndicat, les agents râleurs, paresseux et malveillants, qui sont des menteurs-tricheurs patentés qui agissent et trahissent honteusement "en toute connaissance de cause". Ils savent "tromper et mentir" en toutes circonstances.

Les collègues du service ne peuvent jamais savoir ce qu’ils pensent vraiment, car ils savent mentir habilement et tromper les autres sans cesse. C’est pourquoi les collègues veulent "continuer à croire" toujours que les syndicalistes imposteurs s’opposent constamment à l’autorité de la hiérarchie.

En réalité, leur lâcheté absolue, manipulatrice et insignifiante, explique qu’ils ressentent un besoin de "trahir les autres sans cesse", parce qu’ils souhaitent avoir "une part du pouvoir" de la hiérarchie corrompue, grâce à la "relation de trahison", ce qui leur permet d’être bien vus par la bureaucratie.

Source : Enquête & Débat

Le 06 février2015



08/02/2015
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